J'ai la "chance" de prendre souvent les transports en commun, métro et bus.
Les bus et les métros se transforment, plus de voyageurs mais moins de place.
Les hommes viennent peut être de Mars et les femmes de Vénus, même si je je lis pas ce genre de livres, mais dans le métro, si les femmes sortent du 19ème siècle, époque où ces dames devaient garder leur virginité et les genoux serrés, les hommes, eux, sortent des cavernes ...
J'ai connu l'époque bénie où les hommes plongeaint le nez dans leur journal pour éviter de se lever pour laisser la place à une femme enceinte mais où ils gardaient, eux aussi, les genoux serrés.
Depuis quelques années, la mode étant à l'avachisement, les femmes gardent, dans l'ensemble, les genoux serrés pendant que les hommes mettent à l'aise leur entrecuisse, à croire que leurs attributs ont absolument besoin de deux places !
Lorsque je suis assise à côté de ce genre d'individu, je peux à peine ouvrir mon livre de poche. En ce moment, la chaleur aidant, mon caractère soupe au lait, me fait donner des petits coups de plus en plus hargneux dans les cuisses qui dépassent.
Croyez le où non, le message n'est jamais compris.
Je me demande si je ne vais pas prendre le métro avec un sécateur à la main...