15 septembre 2009
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De ces vacances joyeuses, il me reste un guide de Dubrovnik, jamais ouvert, quelques "bus pass", une carte d'embarquement, un dépliant sur Lokrum - une réserve naturelle peuplée de paons -, une carte postale de la plus vieille pharmacie d'Europe.
Il me reste aussi des souvenirs, des crises de fou rire, des conversations surréalistes en serbo-croate, en anglais et en français, le tout mélangé et secoué.
Des traversées en bateau, des dégustations de salade de poulpes en guise de quatre heures, d'escaliers montés péniblement par le Bibelot et sa moitié.
De petits déjeuners pris sur une terrasse en regardant la mer, des réveils en pleine nuit à cause d'un coq qui ne connaissait pas l'heure, l'impression, parfois, d'avoir changé d'époque lorsque votre voisin promène ses chèvres en ville !
Il me reste aussi, moi qui n'ai pas connu la guerre, une compréhension nouvelle pour des hommes et des femmes meurtris,et les traces tangibles sur les murs et dans les âmes de ce traumatisme majeur.
Il me reste des projets, aller à Vienne et retourner à Venise.
Il me reste aussi des souvenirs, des crises de fou rire, des conversations surréalistes en serbo-croate, en anglais et en français, le tout mélangé et secoué.
Des traversées en bateau, des dégustations de salade de poulpes en guise de quatre heures, d'escaliers montés péniblement par le Bibelot et sa moitié.
De petits déjeuners pris sur une terrasse en regardant la mer, des réveils en pleine nuit à cause d'un coq qui ne connaissait pas l'heure, l'impression, parfois, d'avoir changé d'époque lorsque votre voisin promène ses chèvres en ville !
Il me reste aussi, moi qui n'ai pas connu la guerre, une compréhension nouvelle pour des hommes et des femmes meurtris,et les traces tangibles sur les murs et dans les âmes de ce traumatisme majeur.
Il me reste des projets, aller à Vienne et retourner à Venise.