18 janvier 2010
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10:04
Je ne donne pas souvent dans la nostalgie, le temps a tendance à embellir les souvenirs, mais j'avoue que depuis quelques jours, je me ferais bien une cure d'Israël.
Je sais que la rue Bar Kochva est toujours à la même place, et les ficus donnent toujours de l'ombre, descendre Bograshov, se retrouver à la plage, la regarder d'un café, je ne suis pas folle, le soleil ne réchauffe pas la peau, il la brûle.
Rencontrer Caroline, qui elle aussi s'ennuie de la France, fait le même blocage avec l'hébreu que moi et prend presque aussi souvent l'avion pour retrouver Paris.
Aller rue Sheinkin, la rue branchée de Tel Aviv, m'acheter des bougies et boire une limonada bien fraîche, attendre l'appel de l'Homme pour connaître l'endroit de notre rendez-vous, déjeuner le plus souvent dans un café à Rothschild, le raccompagner à son travail et revenir à pieds.
Râler après la chaleur moite, rentrer et mettre la clim à fond, subir l'interrogatoire de ma voisine, me faire engu... par mes voisins de mon peu de progrès en Ivrit et rêver de Paris...
Je sais que la rue Bar Kochva est toujours à la même place, et les ficus donnent toujours de l'ombre, descendre Bograshov, se retrouver à la plage, la regarder d'un café, je ne suis pas folle, le soleil ne réchauffe pas la peau, il la brûle.
Rencontrer Caroline, qui elle aussi s'ennuie de la France, fait le même blocage avec l'hébreu que moi et prend presque aussi souvent l'avion pour retrouver Paris.
Aller rue Sheinkin, la rue branchée de Tel Aviv, m'acheter des bougies et boire une limonada bien fraîche, attendre l'appel de l'Homme pour connaître l'endroit de notre rendez-vous, déjeuner le plus souvent dans un café à Rothschild, le raccompagner à son travail et revenir à pieds.
Râler après la chaleur moite, rentrer et mettre la clim à fond, subir l'interrogatoire de ma voisine, me faire engu... par mes voisins de mon peu de progrès en Ivrit et rêver de Paris...