C'est la faute aux cartons, ouvrir, sortir, laver, chercher une place et recommencer.
C'est la faute au temps, il fait beau, il ne pleut même pas, encore un cliché sur la Normandie qui prend l'eau, lui.
C'est la faute de la fleuriste, nous sommes allés commander des fleurs et nous sommes tombés sur une amoureuse des chats, elle nous gardera Balagan pendant les quelques jours que nous passerons à Paris au mois de septembre.
C'est la faute de la vie, même pas eu le temps d'aller voir l'exposition sur les peintres italiens qui se tient à Caen.
Peut être que demain, si le temps reste beau, j'irai en reconnaissance sur les plages du coin, en attendant l'arrivée des enfants.
Dire que Paris ne me manque pas serait un mensonge éhonté...